Plongez dans l'univers de nos auteurs
DANCOURT FRANCOIS - Mon alphabet poétique
Plongez dans un univers où les mots transcendent leur définition pour embrasser l’infini des sens. Ici, les termes « sens propre », « sens figuré », « par extension », « par exagération » et « familier » ne sont que des points de départ pour un voyage bien plus riche et personnel. Imaginez une cuisine linguistique où l’on marie les mots comme des épices, créant des associations inédites qui réveillent la mémoire, enflamment le cœur et stimulent l’esprit.
L’auteur vous invite à dépasser les frontières de la définition et de l’étymologie pour ressentir chaque mot avec tous vos sens en éveil.
L’exercice pourrait s’étendre aux quelque 38 000 mots du dictionnaire, alors n’hésitez pas à écrire votre propre alphabet, votre propre symphonie de sens. Laissez-vous inspirer et écrivez votre propre histoire.
BIGEARD JEAN-MAURICE - Mémoire d'un cinéphage
Un cinéphile est, en règle générale, un être pondéré qui fréquente de paisibles ciné-clubs, s’habille en tweed, fume la pipe, ne jure que par les Cahiers du cinéma, et vénère des valeurs solidement établis tels que Fritz Lang, Murnau ou encore Hitchcock. Jean-Maurice, lui, est un véritable ciné-addict, notre homme, non-fumeur de pipe et à la vêture passe-partout, court depuis l’adolescence les cinémas de quartiers, dévore les fanzines mal ronéotypés, amasse VHS et DVD improbables et hante les festivals cinématographiques à travers l’Europe entière.
Dans ces confessions amusées, Jean-Maurice nous entraîne dans cette quête infatigable qui le mène, de salle en salle et de film en film, à la poursuite de l’émotion rare. Dans son sillage, c’est tout un cinéma baroque et coloré, et bien souvent oublié des manuels officiels, que nous (re) découvrons.
Entrez vite, la séance est sur le point de commencer…
CORTIAL FRANCOIS - Hôtel de la Gare
Après le tourbillon de la fin des années soixante, alors que l'on s'apprête à vivre une nouvelle décennie, Paul Moreuil, de plus en plus lassé par son métier d'architecte, ne trouve plus sa place dans cette société de consommation de masse totalement contraire à ses valeurs, et dans laquelle il est de bon ton de paraitre et de posséder.
Il décide un beau soir de faire une pause et monter dans le premier train, sans destination précise. Il s'arrête à Fontenay, petite ville discrète et attachante, perdue au coeur de la France heureuse des années soixante-dix, dont personne ou presque ne connait l'existence.
Durant ces longs mois d'absence, il met en application la devise de sa défunte Tante Marguerite : se contenter du strict nécessaire et délaisser autant l'inutile que le superflu.
Il fermera cette parenthèse et en ressortira totalement transformé, connaissant la véritable valeur des choses, avec dans ses bagages, douze portraits de personnages, réels ou imaginaires, à qui il attribuera des vies parfois singulières, parfois tragiques mais toujours pleines d'humanité. Il en naitra un premier roman, écrit chaque soir dans sa petite chambre sous les toits.
Après la publication de trois romans, François Cortial revient aujourd'hui avec un nouvel ouvrage au travers duquel il continue de faire voyager le lecteur dans une époque passée.