Plongez dans l'univers de nos auteurs
LERNE LOUIS - La statue de sel
Quel plaisir de pouvoir lire un livre
à l'endroit comme à l'envers !
Vous pourrez, en effet, lire celui-ci en commençant
par la fin, ou par le milieu, sauter des pages,
- à condition d'en relire certaines ! -
n'écouter que trois personnages,
et même n'en choisir qu'un... moi par exemple,
car, comme disait Gide, « J'adore être préféré ».
Encore vous faudra-t-il deviner qui je suis !
JOURDA MATHIEU-ROBERT - La vie, le sens, par exemple
La vie, dans ce livre, est celle d'un Auvergnat de souche, qui se prénomme Robert, né en 1932, une vie pleine de péripéties de toutes sortes - familiales, relationnelles, sociales, professionnelles, intellectuelles - toutes ascensionnelles parce que durant toute cette vie il a répondu à l'injonction quo non ascendam : quel sommet se prétend à moi inaccessible ?
Quant à sa constante recherche de sens, elle n'a pas été philosophique, elle a été, depuis son enfance, une question toute simple mais obsédante : pourquoi les gens font ce qu'ils font dans la vie ou de leur vie ?
Il a trouvé des réponses, il les a enseignées, il les a publiées, à toutes fins utiles, y compris les fins dernières. Ce récit ne se veut pas exemplaire au sens de modèle ou de leçon mais de justification de la recherche de sens. Trois chapitres racontent les faits historiques personnels, dans le contexte de l'histoire universelle, le quatrième tire les conclusions.
La vie a interpellé Robert, alors Robert réplique en interpellant la Vie.
L'auteur est chercheur, découvreur et enseignant indépendant en sciences humaines.
DAMASA - L'Omerta chez les flics - Chroniques de la discrimination ordinaire
Ancien flic, je vous révèle dans ce récit, les expériences que j’ai pu vivre, la complexité du système, les interrogations sur des affaires complexes ou non élucidées. Je vous partage mon regard en tant que professionnel sur des « suicides » de personnalité, et enfin… les révélations qui ont été portées à ma connaissance et que j’avais gardées pour moi jusqu’ici.
L’Omerta doit cesser et la parole doit se libérer dans une République de Droits Fondamentaux qui rejettent toutes les discriminations.