C’est l’amour du livre et de l’histoire qui ont poussé Valentine François à écrire. Elle avait besoin de s’exprimer et de mettre en pratique une partie d’elle. L’écriture le lui permet et représente ainsi une sorte d’évasion. Sans des histoires enjolivées de rêves, que serait le monde ? Elle garde un lien précieux avec son pays et sa famille. Mais persiste une certaine nostalgie d’une Guyane passée qu’elle n’a pas connue mais qui la fascine.