Roger et Simone ont choisi le difficile et passionnant métier d’agriculteurs. Un choix qui les a conduits à aller chercher loin de leurs bases, une « terre promise ». Avec d’autres jeunes des campagnes, ils étaient les migrants de leur époque.
Une volonté farouche de gagner leur pari les a fait surmonter les obstacles d’une installation périlleuse, faute de moyens financiers conséquents.
Ce livre relate leur parcours professionnel, leurs aventures de jeunes parents, leur intégration progressive dans leur nouveau milieu de vie et les engagements qui ont sollicité leur sens de l’action sociale collective.
Toute leur vie, une boussole les a guidés un humanisme teinté des valeurs chrétiennes qui appellent à l’amour fraternel et universel.
À l’âge du bilan, ils pensent qu’une conception faussée de la modernité, idolâtre de l’argent et des pouvoirs met en péril le petit vaisseau spatial qu’habite l’humanité.
Ils croient qu’un avenir reste ouvert aux acteurs d’une future civilisation régénérée, écoutant les leçons de la nature, pour sauvegarder la maison commune.

La légende des neuf royaumes et du livre sacré débute au Moyen-Âge et traverse notre ère. C'est le récit de deux meutes qui s'affrontent, les loups-garous menés par le jeune prince Mèros et le comte Mateos, le roi des vampires. Un vrai défi pour le jeune prince qui perd toute son armée face à celle du Comte et du roi Zolius. Cette guerre traverse les époques, et les descendances des deux clans ont repris le flambeau. Une grande armée Invincible s'engage dans une lutte sans merci et les changements à venir nous plongent dans le chaos. Entre créatures maléfiques et magiques, les apparences sont parfois trompeuses...
Matthieu Vernier est né à Senlis, c'est un grand fan de Fantasy. Suite à son harcèlement dans le domaine professionnel, il éprouve le besoin d'écrire, c'est une porte de salut, créer, inventer des personnages devient essentiel. C'est son premier roman.

La jeune génération sait qu'en ce début du troisième millénaire, la situation de l'humanité est plus que critique et sa survie menacée (désastre écologique, risque de guerre, accroissement des inégalités). Mais elle semble désorientée quant à la voie qui permettrait à Homo Sapiens de s'en sortir. Oui, la préoccupation écologique est cruciale, oui les discriminations sont inacceptables, mais la résolution « par le haut » n'adviendra jamais si les questions de l'exploitation économique, de la domination institutionnelle et de l'assujettissement idéologique ne sont pas reprises à bras-le-corps et articulées dans une conception d'ensemble.
C'est ce qu'acte le présent discours dit polistique (alliant science et politique), esquissant le prochain modèle de société souhaitable : le communalisme mondial en réseau.
« Alors, il ne s'agira plus de travailler pour perdre sa vie à la gagner. Il s'agira de s'impliquer dans les activités de production pour s'émanciper subjectivement. Et il se trouve que cela n'est pas incompatible avec une création importante de plus-value, à condition d'en changer la forme dans les échanges, et de modifier le profil institutionnel des organisations ».