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PAVAGEAU PASCAL - The Noodles
De l’improbable rencontre entre la guitare d’un italien éprouvé, accrochée au mur de sa crêperie, et de quatre gamins d’Orléans, dont un seul est musicien, va naître le plus magnifique des groupes de Rock. Balbutiant à « quatre pâtes » en juillet 1981, la platée ne va cesser de s’enrichir de vingt et un ingrédients différents pour former les recettes les plus écoutées et égouttées au monde.
The Noodles, c’est un clan mystique autour d’un leader mythique, comme l’inverse. C’est le ralliement de la sincérité et du talent al dente.
Les pâtes ont leurs farines le Rock a ses héros.
BONAVENT STEPHANIE - Une journée à la campagne
Tout commence par une préparation minutieuse de la journée. Les parents s'affairent, les enfants suivent tant bien que mal le rythme imposé. Le grand départ s'annonce pour une journée bien occupée.
Au fil du périple, les situations cocasses se succèdent et c'est avec un plaisir non dissimulé que l'on prend part à l'impossible épopée d'une famille presque ordinaire. On s'affaire avec Perrichon, souffre avec Ulysse, espère avec Pantagruel.
On découvre avec délice la campagne catalane, les charmants villages, les routes sinueuses, et un saint lieu millénaire. On goute les spécialités du coin. On découvre les vraies gens. On se prend aussi à aimer cette langue catalane égrenée dans le récit.
Une journée particulière d'une chronique familiale pleine de drôlerie, de tendresse et de vie...
Artiste dans l'âme et terre à terre à la fois, l'auteure a obtenu un diplôme en arts plastiques et un autre en droit. Voilà presque un quart de siècle qu'elle s'est installée dans la Belle Province, ou elle a fondé sa petite famille. Elle y a trouvé sa place dans le domaine de la restauration. Sa vie est certes au bord du Saint Laurent, mais son coeur est partagé entre le Québec et cette autre contrée d'irréductibles qui l'a vue naitre en 1966?: la Catalogne française.
BILLIAU SYLVAIN - Ressentir
Voudriez-vous d’une vie sans émotions ?
Malgré ce qu’il en coûte, par celles qui parfois nous terrassent, que dire de celles qui plus souvent nous égayent et embaument nos sens ?
Pourquoi vouloir s’en protéger, se limiter ?
Des plus discrètes aux plus intenses, toutes ont leur place, car elles témoignent de ce qui nous touche, nous anime, nous conduit.
Aujourd’hui, je n’ai plus peur. J’ai choisi de vivre. De les vivre. Pleinement. De goûter leurs arômes, quels qu’ils soient. En prenant garde, cependant, à leur intensité.
En mots légers, en mots dansants, en mélodie,
Je vous invite à ressentir.