Plongez dans l'univers de nos auteurs
WATIN FRANCOISE - La clinique des elfes
Vous allez plonger dans un univers ou la détresse morale flirte avec la folie. Meurtres, viols, visions, désespoirs, amours, passions, tromperies sont les ingrédients de cette fiction. Une certaine noirceur y règne. On y retrouve une famille bourgeoise issue du monde médical qui possède une clinique. De père en fils, la gynécologie obstétrique est comme une tradition chez eux. Mais cette famille cache de lourds secrets. En parallèle, un couple de détective, Greg et Tina, enquête sur le décès d'une jeune femme, survenu deux ans plus tôt. L'amie d'enfance de Tina, Chris, va les rejoindre après un séjour en psychiatrie. Chris a des visions. Et c'est grâce à ses visions qu'elle va pouvoir les aider dans leur enquête.
Françoise WATIN débute ses études tardivement, à l'âge de 32 ans. D'abord aide-soignante puis infirmière, l'auteure a toujours su se débrouiller et s'adapter. Mère de trois enfants et grand-mère de six petits-enfants, elle a grandi dans une famille d'ouvriers ou le livre n'avait pas vraiment sa place dans le quotidien. Elle a cependant toujours eu ce besoin constant de lire des livres qui n'étaient pas toujours adaptés à son âge.
DEMOITIE ALPHONSINE - Le Chalet
Alors qu'elle vient de perdre sa mère, Claire apprend que son père est décédé il y a maintenant cinq mois. Soutenue par son amie d'enfance Lucie, elle apprend l'existence d'un chalet à la montagne dont elle hérite. Les deux jeunes femmes décident de s'y rendre. Claire va découvrir que son père ne lui disait pas tout sur ses activités professionnelles...
Entre secrets de famille, amitié et amour, vous vous verrez transportés dans un récit rempli de rebondissements.
Alphonsine DEMOITIE est née en Belgique. Pendant des années, la lecture est son seul refuge. Elle se met alors à écrire pour libérer son trop-plein d'imagination afin d'y entrainer ses lecteurs.
Bakayah KOUBI - Alpha Condé - La confidence d'une imposture
La Guinée est un magasin aux rideaux baissés. Furtivement, on distingue des silhouettes coloniales qui vident les étagères et efflorent la dignité des pieds. Juste une boutique comme motif d’apaisements, car dehors, cerveaux dégarnis, on regarde de travers. L’ethnocentrisme de par son mécanisme de fonctionnement, est le vrai métier. On est persuadé de ses valeurs parce que chaque élection correspond à la saison des morts inutiles.
Un pays à 400 partis politiques opte pour le réveil de la nullité, la théorie de l’échec, dont l’analyse porte sur la chaleur volcanique de notre instinct animal. Or, nous sommes tous à la recherche des mêmes réponses. On nous amadoue avec les mœurs de l’esclavage et de la colonisation pour poursuivre notre propre univers carcéral : Diplômes français, uniformes militaires français, robes juridiques françaises, armes de guerre françaises, langue et prénoms français : tout est étranger pour contenir le volcan populaire national.
À l’état de vie, l’abominable comédie pour la liste des colonies qui n’échappera guère à la sentence des mots : dictature, troubles électoraux, mascarades, violences policières dans la débrouillardise de la lâcheté intellectuelle, tableau ou ironie.