Plongez dans l'univers de nos auteurs
WATIN FRANCOISE - La demeure de Bauer
Retrouvez Greg et Tina au cours d’une nouvelle enquête palpitante se déroulant dans un petit bourg apparemment sans histoires non loin de leur agence de détectives. Deux mois après l’arrivée d’un club de motards « Les Béliers Noirs », une succession d’événements vont venir troubler la tranquillité des habitants.
Entre disparitions, meurtres, tortures, manipulations et vengeance, ce nouveau roman vous plongera dans un suspense haletant.
BELMAKADEM JELLOUL - Le travail intérieur - Éveilleur de l'essence des humains
L'humanité contemporaine est en train de se détruire et de sombrer dans une sorte de folie collective. Les humains sont faits de deux natures intimement liées : l'une inférieure, immorale, héritée du règne animal qui se trouve en chaque être humain, dont le centre est dans le cerveau, l'intellect des humains. Celle-ci doit être maitrisée par la seconde : une nature supérieure, morale qui a son siège dans le plexus solaire.
C'est en travaillant sur soi-même, en apprenant à se concentrer sur le plexus solaire avec beaucoup d'amour pour l'humanité et tout l'univers, que l'on arrive à disposer de toutes ses énergies pour les envoyer au cerveau, pour l'orienter vers ce qui est élevé en nous-même. Le plexus solaire, c'est la racine de l'intellect, si quelque chose ne va pas à ce niveau, tout le reste périclite et nous tombons dans une sorte de déséquilibre, dans des discordes et violences au sein de la famille, dans des désordres dans la société et des guerres dans le monde tels que nous les constatons aujourd'hui.
Afin de pouvoir vivre dans la joie et la paix intérieure et extérieure, les hommes ont intérêt à donner la liberté d'expression à leur nature supérieure et non à leur nature inférieure, animale.
LEGRAND MONIQUE - J'avais perdu la rose des vents
La rose des vents est un outil d'orientation qui indique les points cardinaux. C'était une figure à quatre, huit et jusqu'à trente-deux directions dont les marins grecs de l'Antiquité usaient déjà pour s'orienter lorsqu'ils naviguaient loin des côtes. Elle était très présente au Sénégal, terre la plus à l'ouest du continent africain, ou par le passé de si nombreux navires ont accosté, et qui fut aussi, de façon plus glorieuse, la première terre d'atterrissage des pionniers de l'aviation comme Mermoz...
Dans ce récit, cette figure d'orientation tient une place symbolique que l'on approche inexorablement sans le savoir, à l'image d'une narration qui prend la forme de la recherche d'un itinéraire perdu.
Le lecteur est entrainé dans une expérience inouie qui consiste, après plus d'un demi-siècle d'oubli, à tenter de retrouver un passé perdu dont les seuls témoins sont des mots conservés dans la mémoire d'une enfant de dix ans qui avait fini par les oublier et qui reviennent peu à peu à la conscience. Il devient le témoin d'une expérience de vie et d'écriture encore jamais tentée.
Le monde qui en surgit est celui de la dernière décennie d'un passé colonial qui prit fin avec l'indépendance de ce pays le 4 avril 1960. L'auteure pose un regard sans tabou sur le passé de cette fin de colonie vécue par une enfant de dix ans.
Monique Legrand est née à Dakar, sa terre d'Afrique ou elle trouva et puisa l'eau précieuse de son africanité. La France fut une terre d'accueil ou elle trouva sa résilience dans l'étude des langues et cultures de l'Antiquité. Agrégée de lettres classiques et auteure d'articles et d'ouvrages sur l'Antiquité, elle s'est attachée à mener une réflexion et une action de terrain pour concilier la mémoire des cultures dans toute la richesse de leur expression.