Plongez dans l'univers de nos auteurs
MATHÉ MARGAUX - Le temps d'un été
Les relations sérieuses ? ça n'intéresse pas Mégane. Et pourtant...
Un voyage comme un autre, un garçon parmi tant d'autres, mais comment aurait-elle pu imaginer qu'elle se retrouverait assise en face du jeune homme de l'avion quelques heures plus tard, lors d'un repas de famille ?
C'est la catastrophe. Une catastrophe embarrassante pour l'un, amusante pour l'autre, incompréhensible pour le reste.
Le début d'une étincelle, un petit jeu qui finira par devenir trop sérieux...
Des sentiments trop puissants pour une relation éphémère, des baisers légers comme le vent. Entre non-dits et quiproquos, plongez dans le récit de cette histoire d'amour qui ne durera que le temps d'un été.
Margaux MATHÉ est née en janvier 2005 en Martinique. Cette passionnée d'écriture rêve de voyager à travers le monde afin de découvrir différentes cultures.
LEVY ANDRE-GILLES - Dis papet, c'était où… là-bas?
Une simple phrase de Numa s'adressant à son grand-père :
« Papet, c'était ou... là-bas ? », et un passé qui ressurgit brutalement.
Sous les cendres d'une enfance cabossée par la guerre d'Algérie, apparaissent des braises encore fumantes d'une plaie mal cicatrisée.
Sous les galets d'une plage de Nice, après la promenade hebdomadaire à vélo, il va tenter de lui transmettre des valeurs humaines à partir de son parcours.
Les attentats du 14 juillet 2016 auxquels Numa échappe miraculeusement, les tribulations politiques et le Covid-19 vont entrainer des réflexions et des réactions imprévues chez le grand-père qui lui dictera un seul conseil :
« Tu peux te tromper mon Numa, mais, jamais te renier ».
André Gilles LEVY a été successivement infirmier, éducateur spécialisé et enseignant à l'Institut d'Enseignement Supérieur du Travail Social à Nice. Il a passé sa vie au service des personnes en situation de handicap mental et de celles en situation de précarité et vulnérabilité. Il est également guitariste, auteur-compositeur et interprète.
COLLINET-GRIBLIN JEAN-FRANCOIS - Léontine
« Considère, mon amour, jusqu’à quel excès tu as manqué de prévoyance. Ah ! Malheureux, tu as été trahi, et tu m’as trahie par des espérances trompeuses ».
Pourquoi fallait-il que ces premières phrases des Lettres portugaises m’accompagnent ma vie durant ? Et comment se fait-il que, dans les passions amoureuses, souvent les amantes font naufrage dans un don d’elles-mêmes inouï de générosité, quand les amants arrivent à se retenir au bord de la falaise et à se rétablir sur la terre ferme ? Et enfin, et surtout, Léontine, une de mes aïeules, grandie à la mesure de mon admiration adolescente, ne devint-elle pas dans mon imagination la religieuse des Lettres portugaises, au point que je lui ai voué une ferveur qui ne pouvait s’achever qu’en roman. Elle, amoureuse d’abord, adorée, puis délaissée, abandonnée, et alors femme bafouée, persécutée par la communauté des vertus inquisitoriales, tombée à terre, fut piétinée par tout un village, se redressa seule et, la haine vaincue et la victoire consommée, finit par entrer dans le si merveilleux esprit d’enfance qui ne croit qu’en aimer, ne voit que l’invisible et n’entend que les voix du silence.