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CHAMAND MIGUY - L'Homme qui pleure
Il pleure... de temps en temps... exceptionnellement ou jamais... Il sait pleurer, tout comme la femme, ni plus, ni moins, cela fait partie de sa nature d'être humain... Et pourtant, autour de lui, tout s'accorde pour l'empêcher de libérer cette émotion... Être témoin d'un homme qui pleure reste très émouvant et nous rappelle juste que nous venons tous de la même source : notre humanité.
Écrire c'est comme ouvrir une vanne et laisser couler la vie qui sort de soi [...] Écrire, marcher, voyager... au coeur de la vie... chercher, comprendre, accepter et grandir pour partager avec l'autre. Écrire c'est marcher vers sa propre liberté pour l'offrir tout simplement.
Née en 1958 à La Réunion, l'auteure partage sa vie entre la France et cette ile de grandes émotions. Depuis toujours, les mots sont pour elle synonymes de magie, de force et de liberté totale vers son être intérieur.
Graph' par l'artiste : Puler
DAMASA - L'Omerta chez les flics - Chroniques de la discrimination ordinaire
Ancien flic, je vous révèle dans ce récit, les expériences que j’ai pu vivre, la complexité du système, les interrogations sur des affaires complexes ou non élucidées. Je vous partage mon regard en tant que professionnel sur des « suicides » de personnalité, et enfin… les révélations qui ont été portées à ma connaissance et que j’avais gardées pour moi jusqu’ici.
L’Omerta doit cesser et la parole doit se libérer dans une République de Droits Fondamentaux qui rejettent toutes les discriminations.
DALSACE ROBERT - Guerre 14-18 - Journal d'un médecin auxiliaire
Cet ouvrage retrace le quotidien d'un combattant français pendant la première guerre mondiale. L'auteur, Robert Dalsace (1897-1996), fut mobilisé en août 1916, alors qu'il n'avait pas encore
19 ans. Étudiant en médecine, il fut donc dirigé vers une formation de médecin auxiliaire. Il assuma cette fonction jusqu'à sa démobilisation en juillet 1919. Le journal qu'il a tenu couvre toute cette période. Pour lui, le vrai combat commença en avril 1918, dans la Somme, lorsqu'il se trouva pour la première fois sous le feu de l'ennemi.
Il nous décrit, dans un style plein de sensibilité, la dureté des combats, les pertes innombrables de vies humaines, ou encore l'attente impatiente de la relève. Il nous fait partager son désarroi face aux ravages persistants de l'ypérite, ce gaz pernicieux utilisé par les Allemands.
Quand le conflit toucha à sa fin, l'auteur découvrit la nature dévastée, les maisons endommagées, les infrastructures détruites par l'ennemi en fuite, et surtout les mines et les dispositifs prêts à exploser sans avertir... Le journal s'achève sur l'occupation en Allemagne, avec une analyse intéressante de l'accueil de l'armée française par les autochtones.
Robert Dalsace fut décoré de la Croix de guerre pour son courage, son dévouement et ses grandes qualités professionnelles.