Excellia. L'héros-magie y est omniprésente. 90 % de la population peuvent la ressentir, grâce à cette énergie qui la représente nommée « aura ». Les 10 % restants sont appelés « sang-morts ». Mis au ban de la société, ils sont constamment rejetés puis conspués.
L'un d'eux, Anaik Lordragon, n'a qu'un souhait  devenir héros-mage. Mais pas n'importe lequel, le plus puissant d'entre eux, l'Empereur-Roi. Sans aucun pouvoir, il voudrait prouver sa valeur à tout le monde et changer les mentalités. En intégrant la prestigieuse école d'arts magiques Excelsior, lui et ses amis, Aliénor et Valentin, vont tenter de développer leur potentiel.
Mais dans l'ombre, un ordre de puissants démons, régenté par le souverain des ténèbres, Malphas Endymion, se prépare...

Le dernier conclave aurait-il manqué sa cible ? Après l’expérience d’un pape polonais puis d’un allemand, tous deux européens, l’élection du dernier pape visait incontestablement à sortir la papauté de l’Europe vieillissante. Un pape nord-américain, étant encore trop proche du modèle européen, ne répondait pas à ce désir. C’est ainsi que les suffrages se sont portés sur un candidat d’Amérique du Sud.
Un pape venu d’Orient pourra-t-il stabiliser la barque de Saint Pierre ? En tout cas, avec une audace d’un nouveau genre, celui-ci aura tenté de le faire en empruntant un chemin inattendu et plus classique que certaines apparences ne le laisseraient supposer.

En 1787, pour les rédacteurs de la Constitution des États-Unis, la vice-présidence était destinée à des personnalités de grande dimension appelées à devenir président comme John Adams et Thomas Jefferson. Puis elle connut rapidement une crise suivie d’un lent déclin pendant lequel des hommes politiques de second rang se succédèrent. Les rares vice-présidents éminents comme Theodore Roosevelt s’y morfondirent. Depuis les années 1950, avec notamment Nixon, Johnson, Ford, Bush, Gore et Biden, la vice-présidence est devenue le tremplin naturel vers la présidence.
Depuis 1952, la quasi-totalité des quatorze vice-présidents ont aspiré à la présidence. Huit ont été candidat de leur parti et quatre ont été élus. Pendant cette même période, sur les treize présidents, cinq ont été vice-présidents au cours de leur carrière politique.
Analysant cette évolution à partir de la vie des quarante-neuf vice-présidents, ce livre, à la veille d’une nouvelle élection présidentielle, décrit aussi les mutations de la vie politique américaine depuis la création de l’État fédéral.